Le ministre a souligné, à la suite de la réunion du Conseil national de la sécurité qui s'est tenue au Palais de Carthage, sous la supervision des trois présidents, que"la situation sécuritaire actuelle dans le pays impose un état permanent d'urgence, car elle est appliquée "partiellement" vu les possibilités existantes."
Il a affirmé que la réunion a également portée sur les choix de sécurité à suivre dans la période à venir,en soulignant que ça va etre "ferme et stricte avec le respect du principe des droits humains", en ajoutant "qu'il ne peut pas continuer comme ça et il n'y aura plus de tolérence,la loi sera appliquée même si nécessaire d'intervenir par la force ".
Il est à noter que cette réunion a réuni les trois présidents, tous les ministres de la défense, de l'intérieur, de la justice et des affaires religieuses, financières et chef d'état-major Rachid Ammar ainsi que les directeurs généraux de la sécurité.
A cette occasion,ils ont confirmé l'importance de la surveillance et de la sécurisation des frontières du pays, en élevant le niveau de coordination avec les pays voisins et mettre un terme au phénomène de la contrebande, ainsi augmenter la coordination entre l'armée et la garde de sécurité et de douane pour atteindre des résultats les plus efficaces.
